Patrick Juan

Presse

Patrick JUAN est le premier spectateur des oeuvres qui se forment dans son esprit. Ses toiles sont le reflet de la profondeur qu’il vit. Qu’il peint.
Elles ont cette troublante propension à fabriquer leur propre lumière.
L’auteur est vecteur, soit, et l’esprit de celui qui contemple se manifeste, ou pas. Il reste cependant cette force qui n’est ni fortuite, ni due et qui est âme, caractère, rigueur et précision.

Intention, trait, traitement : tout est indice d’une volonté sciente en attente d’illumination, d’embrasement, d’affinité élective.

Poser son regard, c’est choisir ce que l’on souhaite voir, comprendre, ressentir. Obsédé par l’objet, l’homme en oublie l’ineffable. Et l’ineffable, c’est précisément ce que P. JUAN signale, souligne, éclaire, démontre sans rien expliquer.
Il montre l’invisible.
Ses Vieux Amants sont plus éloquents que la parole même.
Le Passé Composé relie ce monde à celui que l’on spécule, vivants et pourtant immobiles, dans cet univers.
L’opéra de P. JUAN chante pour celui qui entend et force l’oreille du sourd qui simule.
Peut-on feindre ne pas avoir vu et vécu ce qu’on a vu et vécu?
On ne peut ignorer non plus qu’on a rencontré et compris ce qu’il y a d’universel et de mystérieux dans cette oeuvre.

Geneviève POULSOM


...............................................................................................................................................été 2009

la_croix_valmer

Gerard_philippe

Saint_Raphael

Roquebrune


Machines Animaux  |  Portraits  |  Abstrait & Contemporain  |  Etudes  |  Divers

Biographie  |  Presse  |  Actualité  |  Contact